Marc Torkan est journaliste.

Alors que Marc Torkan était en voyage de noces à Bali, en 2005, sa femme, Caroline, fut tuée dans l'explosion d'une bombe revendiquée par une organisation islamiste proche d'Al-Qaïda.

Lui-même grièvement blessé, il donna dès son retour en France sa démission du journal Paris Flash dans lequel il était grand reporter.

Revenu vivre dans sa région natale, la Bretagne, Marc Torkan y ouvrit une boutique d'antiquités et d'objets de marine, installée dans un ancien moulin à marée dans le golfe du Morbihan, entre Vannes et Auray.

Veuf inconsolable ayant gardé de son passé douloureux une cicatrice sur le flanc gauche et une aversion de tous contacts physiques, il est aussi devenu un gros fumeur et un buveur régulier, pratiquant néanmoins le surf.

Cinq ans après, suite à la demande de son ancien rédacteur en chef et beau-père, Patrick Boudou, il accepte de réintégrer son magazine, et de faire équipe avec la photographe Katie Jeckson.

Mesurant un mètre quatre-vingts et légèrement vouté, mince aux épaules larges, les yeux clairs, les cheveux blonds coupés courts, mais un peu dégarni sur l'arrière du crâne, Marc Torkan n'est pas vraiment beau, mais il se dégage de lui un charme indéfinissable.

Ayant couvert de grosses affaires de faits-divers, il a aussi été grand reporter à l'étranger, notamment en ex-Yougoslavie et en Afghanistan.


Les romans de Frédérick Rapilly où apparaît Marc Torkan sont les suivants :

  • Le chant des âmes (2011)
  • Le chant du diable (2012)